Jour 3, dans ma nouvelle boîte. Je suis au taquet. Et là, le monde s’arrête. Littéralement 😵 Je venais de trouver un super poste d’Office Manager à Empirik. Tout commençait parfaitement. Enfin... jusqu’à ce que la nouvelle tombe. ”Nous sommes en guerre”. Annonce du premier confinement national. La claque 😶 Et le tourbillon d’émotions : - 𝐄𝐱𝐜𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, d’avoir signé un CDI déjà, mais aussi de rencontrer ma nouvelle équipe. Même virtuellement. - 𝐒𝐭𝐫𝐞𝐬𝐬, de la pandémie mondiale, de ma période d’essai, et des conséquences sanitaires (qui lavait ses pots de yaourts ?) - 𝐆𝐫𝐚𝐭𝐢𝐭𝐮𝐝𝐞, de vivre ce moment dans un appart sympa, avec mon mec, sans enfant. (Mais sans balcon.) - 𝐋𝐚𝐬𝐬𝐢𝐭𝐮𝐝𝐞, face à la mission impossible : trouver un bidon de gel hydroalcoolique. - 𝐉𝐨𝐢𝐞, des apéros visio avec les copains, des nouveaux rituels avec la team. Et des 12 versions de banana bread testées. - 𝐅𝐢𝐞𝐫𝐭𝐞́, d’avoir trouvé des moyens de créer du lien, comme avec mon Excel "Quality Quarantine". Bons plans, recettes, idées d’activités : un petit trésor partagé. Et puis, ce moment suspendu : "Comment on organise un déménagement quand le monde entier est à l’arrêt ?" Cinq ans plus tard. Je repense souvent à cette période. Celle où j’ai appris que l’adaptabilité n’est pas une compétence, mais une nécessité. Que créer du lien, même à distance, reste possible. Et que franchement, rien n’est impossible quand on y met du cœur. Aujourd’hui, je fête mes 5 ans chez Empirik. Et dans trois jours, ce sera les 5 ans du premier confinement. Et toi, tu te souviens où tu étais ce jour-là ? PS : Pas de cure de sébum pour moi. Mais j'ai coupé les cheveux de mon mec et je suis clairement pas douée pour ça. PPS : À la team Empirik, merci encore pour votre accueil dans des conditions aussi… extra-ordinaires. Et on repart pour un nouveau quinquennat Lionel Cherpin ? 📸 Une des seules photos que j'ai prise à l'extérieur pendant ce premier confinement, les quais du Rhône à Lyon fermés au public.